Imprimer cette page
L’homme qu’il faut à la place qu’il faut

L’homme qu’il faut à la place qu’il faut

Rédigé par R. K. / L'édito du mois / samedi, 17 septembre 2022 17:47

En opérant un léger lifting au sein de l’Exécutif de Aïmene Benabderrahmane mûrement réfléchi, le président de la République provoque, on ne peut mieux, le changement, son leitmotiv favori dont il a fait un engagement personnel dès son accession à la magistrature suprême du pays.

Coïncidant avec la traditionnelle rentrée sociale, le récent remaniement ministériel intervient dans une conjoncture socio-économique au beau fixe, nonobstant quelques imperfections relevées au sein de certains secteurs. « On ne peut cacher le soleil avec un tamis », un proverbe qui vaut son pesant d’or, quand on ignore nos erreurs et la reconnaissance de certaines réalités parfois amères, et c’est là où le bât blesse.

C’est le cas de le dire concernant le domaine des travaux publics. Du reste, comment interpréter la nouvelle nomination d’un gestionnaire chevronné en la personne de Lakhdar Rekhroukh, désormais ex-P.-dg du Groupe Cosider, qui s'est vu confier le poste de ministre des Travaux publics, de l'Hydraulique et des Infrastructures de base. L’homme qui jouit d’une expérience en béton a réussi à hisser son entreprise au troisième niveau africain. Il est parfaitement prédestiné à occuper ce poste.

Une mission grandiose pour un secteur hautement stratégique dans une Algérie en pleine mutation. A ce titre, le fameux slogan « L’homme qu’il faut à la place qu’il faut » trouve vraiment tout son sens.

TAGS